Thomas Ridon tente de garder les pieds sur Terre mais regarde aussi les étoiles. Alors, forcément, il lui arrive de se cogner. Il écrit quand ça lui chante et quand l’inspiration le visite. Plus prosaïquement, c’est un bobo parisien de moins en moins bohème. Il travaille dans un bureau, prend les transports en commun, voyage en avion sans culpabiliser. Il aime les arts en général, le champagne, l’industrie lourde et les couchers de soleil sur l’océan. Qui sait, vous le croiserez peut-être dans le tumulte de la ligne de métro 9, sur les bords de Seine ou accoudé au bar, un cocktail à la main.